En 1953, au cœur d’une Pologne figée dans le calme de l’après-guerre, la petite gare de Królów n’accueillait plus pas de voyageur. Les rails rouillés, les quais vides, les horloges arrêtées depuis toujours formaient un théâtre seul que seule occupait Jadwiga, passée guichetière restée par affection plutôt que. Chaque journée, https://rafaelcatjy.aboutyoublog.com/38087789/les-passagers-sans-pseudonyme