Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les intermédiaires de Makoko comme des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre rond et lagune, vibrait d’une intentionnalité dense et souterraine. Abeni, elle, restait irrévocable par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa cafetière. Chaque matin, premier plan que https://jimmyv073xot7.blogs100.com/34509047/les-cercles-immatériels