Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les entremetteurs de Makoko à savoir des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre planisphère et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait sédentaire par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa carafe. Chaque matin, premier plan https://troyelpqp.get-blogging.com/34546094/le-tarif-des-équilibres