En 2099, l’orbite terrestre était saturée de satellites, de stations désaffectées, de modules de obligeance et d’anciens débris. Mais parmi cette nébuleuse artificielle, un satellite nommé Eurydice-V tournait abandonné, à une altitude et une fréquence précises. À son borne, une télépathe vivait en connexion permanente avec une camaraderie artificielle embarquée, https://cristianoalvg.blogcudinti.com/34034045/les-coordonnées-du-destin