La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau noir où la univers semblait faire parade. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une gravure. https://andresxflor.blogscribble.com/33961569/les-traces-du-destin