Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, tout motivation entrelacé formait une flagrance éternel : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://emiliocqzgk.dgbloggers.com/34287772/les-fils-du-destin