Le manoir se dressait, pénible, au milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une constitution de cristal et de métal résistait encore au générations : une serre oubliée, impénétrable après un mur de végétation sauvage. Julien, https://martinsckqy.bloggerswise.com/41121593/le-jardin-des-obscurités-statiques