La jungle maya s’étendait marqué par un ciel d’obsidienne, où seules six ou sept étoiles perçaient l’épais feuillage des arbres centenaires. Au cœur de cette végétation luxuriante, une ville à avoir se dressait, ses temples de pierre dominant la canopée comme par exemple des veilleurs silencieux. Les torches brillaient faiblement https://titusbwmzl.angelinsblog.com/32723401/l-ultime-renseignement